Villageois blog's

« Maudits soient ceux qui ont inventé ces réseaux : Internet, face book et Tweeter ». C’est ce que doit dire nos responsables et gouvernants. Ces outils de malheur qui mobilisent très vite les gens et qui sont devenus vraiment des casse-tête. Au lieu de les employer dans des discutions sportives ou sentimentales voilà que les jeunes les emploient dans des domaines « privés » réservés aux «grands » seulement. Ils fourrent leur nez n’importe où. Et le résultat ? Ils foutent tout en l’air. Ils font la loi à travers le monde maintenant. Ils n’ont peur de rien, ni des canons à eau ni des balles en plastique. Ils font tomber des présidents, font changer des régimes, mettent en feu Londres, la pillent... Et ce n’est pas fini. Au Chili ils veulent finir avec les ‘restes ‘du régime Pinochet. A qui sera le tour prochainement ?

Il faut réagir sinon ils vont nous ‘’manger’’ ces jeunes d’aujourd’hui. Commençons par surveiller ces réseaux sociaux, décide Cameron le premier ministre britannique. "Nous étudions avec la police, les services de renseignements et le monde professionnel, s'il serait approprié d'empêcher des gens de communiquer via ces sites et services Internet quand nous savons qu'ils servent à planifier des violences, des troubles et des actes criminels"

Monsieur le Ministre et la liberté d’information ? « Quand des personnes utilisent les réseaux sociaux pour organiser des actes de violence, nous devons les stopper",

Monsieur le Ministre n’étiez-vous pas contre cette action en Tunisie, en Egypte, enfin dans le monde arabe ? (Il aurait répondu) : Ici c’est Londres. Il est inadmissible que nous européens, civilisés acceptons ces barbaries. Il ne faut pas aussi nous comparer à ces dictateurs du sud.

Pour quelles raisons ces jeunes ont -ils agit de la sorte ?

Pour des raisons sociales diront les uns, politiques diront les autres. L’important c’est qu’ils ont leurs raisons ici, comme la bas ou ailleurs. Et si on n’essaie pas de les comprendre et s’entraider à trouver des solutions à ces problèmes, la situation risque de s’aggraver de plus en plus.